Thursday, May 31, 2012

Talons vertigineux et pochettes ont été parmi les accessoires les plus vues - Shopping - Bijoux

Talons vertigineux et pochettes ont été parmi les accessoires les plus consultés sur Polyvore style de communauté en ligne de partage au cours de Février et Mars en fonction de Report.Polyvore le site le dernier renseignement, qui permet aux utilisateurs d'exprimer leurs préférences actuelles de la mode sous la forme de collages,isabel marant a révélé que, en termes de top recherches entrantes (termes principaux visiteurs de Polyvore des moteurs de recherche), Isabel Marant de baskets hi-top en tête de la list.These sont un favori avec des célébrités, y compris Beyoncé Knowles, Alicia Keys, Miranda Kerr et Heidi Klum, et offrent un contraste plus à l'aise à l' styles les plus consultés sur Polyvore pour Février et Mars, où des talons aiguilles a dominé le top trois (pompes arc Valentino gagné 342,129 points de vue, avec chausson à bout ouvert la Maison Martin Margiela à la deuxième place et le Giuseppe Zanotti noir chausson plateforme en daim à la troisième place). Dans termes de tendances des utilisateurs Polyvore cherché l'inspiration, haute-top sneakers ne venait à onze le nombre, tandis que la place de numéro un est allé à un élément non-chaussures - short en jean. Bottes de combat est venu en cinquième, et robes à fleurs étaient au nombre de trois.



Le look ancien réglée pour être grande pour le printemps / été 2012, avec des styles militaires similaires à ceux portés par les héros Katniss Everdeen dans Smash box-office actuel The Hunger Games figurant dans un certain nombre de collages Polyvore récemment créées. Stanley Siegel, un chroniqueur psychothérapeute et ancien mentor pour Newsday qui M. Bergeron, a déclaré: «Nous se réunir régulièrement et il y avait beaucoup de conversations personnelles, dont aucun ne jamais touché sur les ténèbres de sa vie qu'il doit avoir senti que je devais. absolument aucun sens de ce. " Mais quelque chose a été clairement roiling dessous de la surface calme. Dans "danseur de la danse,« le séminal 1970 roman sur la vie gay à New York par Andrew Holleran,isabelle marant le protagoniste, Anthony Malone, entre dans la baie sur Fire Island, plutôt que face à vieillir et à regarder son fondu beauté. Si M. Bergeron pris la même décision? «Nous vendons cette idée que 60 est la 40 nouveaux, mais il est juste le mensonge," a déclaré le Dr Frank Spinelli, un interniste à Chelsea qui a évoqué de nombreux patients à M. Bergeron. "Nous disons aux enfants, il ya le Père Noël, et puis ils vieillissent, et apprennent mieux. Je ne peux même pas commencer à imaginer ce que Bob allait à travers." Que les suicides, mêmes apparemment inexplicables, se produisent à New York n'est pas nouvelles étonnantes, bien sûr.



Et, certainement, parmi les hommes gais dans la ville, il n'est pas rare d'entendre d'une connaissance qui a pris sa vie, souvent quelqu'un dans les étapes ultérieures du sida qui ne veulent pas (ou ne pouvaient pas se permettre) à attendre pour la fin amère. (Une enquête de 2002 par des chercheurs de l'Université de Californie,isabel marant sneakers San Francisco, a révélé que 12 pour cent des urbains les hommes gais et bisexuels ont tenté de se suicider dans leur vie, un taux trois fois plus élevé que le taux global pour les hommes adultes américains.) Mais il ya quelque chose de particulièrement résonance sur les conte de M. Bergeron. Il y avait là un homme qui a fini sa vie au moment exact où il semblait être en voie d'un pic professionnel, celui qui participe de l'histoire optimiste d'un homme d'âge mûr gay face à la seconde moitié de sa vie avec enthousiasme, l'espoir et une infinité de T serrés -shirts. «Le jour où cela s'est produit, quand il semble manquer, j'ai couru à travers un million de scénarios», a déclaré James Sackheim, M. Bergeron premier long-terme copain et plus tard, son meilleur ami. "J'ai pensé que peut-être qu'il avait frappé sa tête à la salle de gym et n'a pas eu sa carte d'identité et ils lui ont transporté à l'hôpital. Il n'y a jamais une pensée dans mon esprit, il serait suicidé. Jamais."

http://www.isabelmarantfr.net

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